D'une fillette distrayant un pendu par ses chants, à un vagabond qui jette son coeur aux chiens errants, en passant par une mourante qui joue de la viole dans un couvent en ruine et à des enfants souffrant d'une curieuse maladie, inculquée par des ronces, voyant leurs corps se disperser aux vents et leur mère courir après les cendres je vous laisse découvrir avec délectation les joyeusetés réunies dans cet ouvrage mélancolique!
On pourra toute fois regretter l'inégalité du style de ces contes délicieux...
Nicolas Liau, Les Deux encres, septembre 2008.
4 commentaires:
un livre qu'il est bien pour le dimanche soir
T'as tout compris toi!
m'a l'air de mettre la patate ton livre o_O
Un excellent livre avec une ambiance que j'ai beaucoup aimé ! Merci pour la découverte.
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