"Rana Toad", ça se mange?

Nous sommes libraires de divers horizons, bibliovoraces friands de découvertes, ici pour partager!

vendredi 14 août 2015

Mrs. et Mr. Andrews/Mme. et M. Andy, les parents de Bob - 1ère Partie (Tomes 1-3)

 NOTE: cet article a été étoffé. J'ai jugé rétrospectivement que certains éléments avaient leur importance. Il est donc possible que vous ayez juste lu la première version. J'indiquerai ce qui a été ajouté.

Tome 1 - The Secret of Terror Castle/Au Rendez-vous des revenants:

Jacques Poirier, 1966.
  La mère de Bob Andrews/Andy est le deuxième personnage à apparaître au tout début de The Secret of Terror Castle/Au Rendez-vous des revenants. Bon, Jacques Poirier semble manifester un certain esprit de contradiction en la dessinant en blonde (version 1966), contrairement aux textes original et traduit ("brown-haired and slender"/"une jeune femme brune et mince"). Dans l'édition de 1979 dans la Bibliothèque Verte, il rectifiera ce détail.
  Dans cette première apparition, elle sert de messager entre Jupiter/Hannibal et Bob. Hé pas de téléphone portable, à l'époque! Quand Bob n'est pas chez lui, c'est elle qui répond au détective en chef.

  "Your friend Jupiter called." His mother went on rolling out the dough on a board. "He left a message."
  "A message?" Bob yelled with sudden excitement. "What was it?"
  "I wrote it down. I'll get it out of my pocket as soon as I finish with this dough."
  "Can't you remember what he said?"
  "I could remember an ordinary message," his mother answered, "but Jupiter doesn't leave ordinary messages. It was something fantastic."
  "Jupiter likes unusual words," Bob said, controlling his impatience. "He's read an awful lot of books and sometimes he's a little hard to understand."
  "Not just sometimes!" his mother retorted. "He's a very unusual boy. [...]"
  While she was talking, Mrs. Andrews had taken a slip of paper from her pocket.
  "Here's the message," she said. "It says 'Green Gate One. The presses are rolling"."
  "Gosh, Mom, thanks," Bob yelled, and was almost out the front door before her voice stopped him.
  "Robert, what on earth does the message mean? Is Jupiter using some kind of fantastic code?"
  "No, Mom. It's plain, ordinary English. Well, I've got to hurry."
Jacques Poirier, 1979.
"Ton ami Hannibal a téléphoné, s'écria Mme Andy tout en malaxant sa pâte. Il t'a laissé un message.
  -Quel message, m'man? Raconte vite!"
  Au nom d'Hannibal, Bob avait bondi.
  "Je l'ai noté par écrit, répondit sa mère. Je te le donnerai dès que je n'aurai plus les mains pleines de farine.
  -Tu ne te rappelles pas ce qu'il a dit? Il a peut-être besoin de moi immédiatement.
  -Les messages ordinaires, je ne les oublie pas. Mais ceux d'Hannibal sont toujours si farfelus... Impossible de m'en souvenir.
  -C'est vrai: Hannibal aime les mots bizarres, reconnut Bob. Il a lu tant de livres que, certains jours, on ne le comprend pas du premier coup.
  -Certains jours! se récrie Mme Andy. Tu en as de bonnes. Hannibal est le garçon le plus singulier que je connaisse. [...]"
  Tout en parlant, elle retira un morceau de papier de sa poche.
  "Voici le message, annonça-t-elle: "Porte verte numéro 1. La presse tourne."
  "Oh! Merci, m'man!"
  Bob était déjà sur le perron. Sa mère eut à peine le temps de le rappeler:
  "Dis-moi, que peut vouloir dire un message pareil? C'est peut-être en code?
  -Oh non, m'man. C'est un texte des plus ordinaires. Bon, je file."

  J'ai omis une bonne partie de cette scène pour ne pas alourdir cet article. J'ai toutefois laissé les commentaires concernant Jupiter/Hannibal, car ce sont les toutes premières indications (si l'on excepte l'introduction d'Alfred Hitchcock) que les lecteurs peuvent lire sur lui. Ils lui donnent une consistance avant même qu'il entre en scène. Le reste a aussi son importance et la scène possède une dimension comique similaire à la scène du Chapitre 1 de The Mystery of the Whispering Mummy/La Momie qui chuchotait, lorsque Mathilda Jones taquine Bob et Peter avec le courrier. Mme Andrews/Andy repousse le moment de délivrer le message, mais c'est presque involontaire de sa part: elle parle de sa bague perdue, retrouvée par Jupiter/Hannibal (j'ai isolé ces quelques lignes ici, car elles ont leur importance), puis se montre curieuse à propos de la Rolls gagnée par le détective en chef (le lecteur grappillera ainsi des informations importantes) et digresse sur  une anecdote concernant "une femme de trappeur qui a gagné des skis nautiques" (le texte original parle d'un bateau, Bellini/Volkoff a changé un poil le prix gagné.)

Tome 2 - The Mystery of the Stuttering Parrot/Le Perroquait qui bégayait:

  Dans le Chapitre 4 de The Mystery of the Stuttering Parrot/Le Perroquet qui bégayait on retrouve une scène quasiment identique. Elle n'est malheureusement pas illustrée. Dans la première mouture de cet article, je n'avais pas jugé nécessaire de recopier cette scène, mais des points importants y figurent et ma propension pour l'exhaustivité a pris le dessus:

  "Bob Andrews was eating his supper, in between glances at the telephone. He had been expecting it to ring any minute, ever since he got home from the library. He worked there part-time, helping return books to the shelves and doing other similar jobs.
  But he was on dessert now - baked cup custard with a nice brown crust on top - and though he was scraping the last speck from the side of his dish, the phone still hadn't rung.
  However, his mother, slender, brown-haired and attractive, caught his glance this time and seemed to recollect something with a start.
  "My goodness!" Mrs. Andrews said. "I forgot. There was a message for you. Your friend Jupiter Jones called."
  "He did?" Bob exclaimed. "What did he say?"
  Bob had had the outlines of the case from Jupiter the day before. They had agreed that The Three Investigators would have a meeting that evening in Headquaters, if Jupe wasn't too busy. Sometimes he had to help his uncle and aunt at The Jones Salvage Yard an could not take time off for investigating.
  "I wrote it down." His mother began fishing round in her pocket among various scraps of paper. "I couldn't possibly remember it. Jupiter certainly does strange language sometimes."
  "He can't help talking in long words," Bob said. "He's read so mush, the long words just come out automatically. Besides his Uncle Titus talks that way, too. You get used to it."
  "Well, anyway, here's the message." She found a piece of paper. "'Red Gate Rover, come over, come over.The bird's on the wing and the case is the thing. The path will be narrow so follow the arrow.' Now honestly!"
  She looked at Bob hard. "What kind of message is that, Robert? Are you boys playing at making up codes, or what?"
  Bob was already halfway to the door, but he stopped, because when his mother asked a question she expected an answer.
  "It's perfectly clear English, Mom," he said.
  "Well, it doesn't sound like clear English to me," she retorted.
  "It's clear English, bit it sounds like a code," he explained. "That's so that if any outsider hears one of our messages, he won't understand it."
  "And I'm an outsider, am I? Your own mother?"
  "Well, gosh, no, Mom," Bob told her. "If you're interested I'll explain. You see, we've startyed this investigation firm, and right now we have a case. We're trying to find a missing parrot."
  "Well, that sounds harmless enough," she said, her face clearing. "I suppose that's what 'The bird's on the wing, the case is the thing' means?"
  "That's it. And Red Gate Rover means-"
  "Oh, never mind. Run along now and don't be too late. I have to send out invitations to the church supper we're having next week."

  "Bob Andy terminait son dessert lorsque sa mère, une charmante jeune femme, mince et châtaine, voyant que Bob ne quittait pas le téléphone des yeux, s'écria tout à coup:
  "Mon Dieu! J'ai reçu un message pour toi et j'ai oublié de te le transmettre. C'est Hannibal Jones.
  -Qu'est-ce qu'il dit, ce message, maman?
  -Attends, je l'ai noté quelque part. Tu sais, il est impossible de se rappeler mot pour mot les messages d'Hannibal Jones: ils sont si bizarres. Ah! le voici."
  Elle tira un papier de sa poche et lut:
  "Pour qu'un peu plus vite l'enquête bouge, adresse-toi au Roquet de la porte rouge. Sois prudent, on ne l'est jamais trop: suis la flèche et viens au bureau."
  Mme Andy poussa un profond soupir.
  "Je me demande ce que cela peut signifier. Vous avez inventé un code peut-être?"
  -Mais non, maman. Cela me parait parfaitement clair.
  -Pas à moi.
  -Oui, bien sûr, c'est exprès. Si une personne étrangère à la firme recevait ce messager par erreur, elle prendrait pour un texte codé et indéchiffrable.
  -La personne étrangère à la firme, je suppose que c'est moi?
  -Mais non, toi, je t'expliquerai, si tu veux. Nous sommes à la recherche d'un perroquet perdu.
  -Voilà qui me parait très inoffensif, commenta Mme Andy, visiblement soulagée.
  -Et le Roquet de la porte rouge...
  -Ça n'a pas d'importance. Puisque tu as fini de dîner, tu peux aller retrouver ton ami. Ne rentre pas trop tard."

  J'avais envisagé de faire quelques coupes du texte original, mais Volkoff/Bellini l'avait déjà fait avec sa traduction. Comme le propos de cet article est de présenter avant tout les parents de Bob, il était légitime de ma part de ne pas conserver tous les détails contextuels (la précision du dessert par exemple). C'est beaucoup plus contestable de la part d'un traducteur officiel. Ainsi, à l'examen du texte traduit, on remarque que l'original est tronqué de nombreux éléments importants pour la continuité de la série. Sans traduire ce qui ne l'est pas (majoritairement de la narration, la version française ne garde pratiquement que le dialogue), voici la liste des éléments en question:
  -Bob travaille à la bibliothèque municipale.
  -Il arrive que Jupiter soit sollicité par son oncle et sa tante pour de diverses besognes qui lui prennent parfois trop de temps pour avancer dans ses enquêtes
  -Dans le texte original, une réplique de Bob, occultée par la traduction française, mentionne que l'Oncle Titus s'exprime de manière littéraire, comme Jupiter. Ce sera confirmé un peu plus tard dans la série.
  -Cette scène montre aussi que la mère de Bob, aussi enjouée et moqueuse qu'elle puisse paraître, la mère de peut se montrer sévère, ce qui est un peu perdu à la traduction. Même si elle s'inquiète un peu des activités de son fils Mme Andrews/Andy partage ce point commun avec Mathilda Jones qu'elle a d'autres occupations que de s'attarder sur les lubies des jeunes hommes. Sa dernière réplique contient une information que la traduction a jugée inutile. Et pourtant, elle manifeste un engagement envers la communauté de Rocky. On verra plus tard que Mr. Andrews/Andy en tant que journaliste tient un certain rôle social. Il entretient même de bons rapports avec un autre personnage satellite récurrent, le policer Chief Reynolds.

  Et puisqu'il est question de M. Andrews/Andy, il apparaît pour la toute première fois un peu plus loin dans ce deuxième volet, dans le Chapitre 15 pour être précis. Je n'ai à disposition que deux illustrations françaises, mais vous apprécierez à quel point elles sont complémentaires. Contrairement au choix de ma première mouture, l'extrait ci-dessous est retranscris intégralement... quitte à spoiler, car le père de Bob est de bon conseil et donne la bonne réponse qui mène au dénouement:

Boiry, 1981.
  "[...] He stretched out on the window seat in the living room and stared at the clouds over the nearby Santa Monica mountains, as if hoping to find an answer written up there somewhere.
  He was so quiet, even when his father came home unexpectedly for supper, that Mr. Andrews looked at him somewhat anxiously.
  "Something the matter?" he asked, getting out his pipe. "Something bothering you, Bob?"
  "It's a riddle, sort of, Dad." It had at last occurred to Bob that possibly someone else might be able to offer a suggestion. After all, his father was considered quite a bright man. He turned on his elbow, looking owlishly earnest with his ruffled hair. "If you wanted to hide some buried treasure so that you could leave a message saying, 'I've buried my treasure where dead men guard it ever.' Where would you put it?"
  "On Treasure Island," his father said, lighting his pipe. "The one Robert Louis Stevenson wrote about. Or some other pirate island."
  "But suppose there weren't any pirate islands around?" Bob persisted. "Then where would you put it?"
  His father thought after that, puffing to get the pipe well started.
  "Hmm," he said. "There's one other good spot that would fit the description."
  "There is? Where?" Bob asked, sitting up now.
  "A graveyard," his father chuckled.
  "Wow!" Bob passed his father so fast, heading for the telephone, that his Dad almost dropped his pipe. Shaking his head at the excitability of his son, Mr. Andrews went to wash up.

Jacques Poirier, 1968.
  "A moitié étendu dans un fauteuil et le regard perdu dans les nuages, il était si tranquille que, rentrant dîner, M. Andy père ne put retenir un mouvement d'inquiétude.
  "Ça ne va pas, Bob? demanda-t-il en ôtant sa pipe de sa bouche. Quelque chose qui te tracasse?
  -Oui, papa. Une énigme..."
  Soudain, Bob pensa que quelqu'un d'autre pourrait peut-être trouver cette solution qu'il cherchait en vain depuis si longtemps. Dans le fond, tout le monde prenait son papa pour un journaliste très brillant...
  Bob tourna vers son père un visage préoccupé, sous ses cheveux emmêlés.
  "Papa, si tu voulais cacher un trésor de façon à pouvoir laisser un message disant "J'ai enterré mon trésor pour qu'il soit gardé par des morts", où le mettrais-tu?
  "Dans l'Ile au trésor, celle de Robert Louis Stevenson, répondit M. Andy en rallumant sa pipe. Ou dans quelque autre repaire de pirates.
  -Et si tu n'avais pas d'îles de pirates à ta disposition?"
  M. Andy se prit à réfléchir en tirant énergiquement sur sa pipe.
  "Hum! fit-il enfin. Il y a bien un endroit très simple à trouver, et qui correspondrait parfaitement à ta description...
  -Lequel, papa? demanda Bob en se redressant.
  -Un cimetière, dit M. Andy en souriant.
  -Ça alors!"
  Rapide comme une flèche, Bob fonça sur le téléphone. Il passa avec une telle vitesse sous le nez de son père que M. Andy faillit en perdre sa pipe."

Tome 3 - The Mystery of the Whispering Mummy/La Momie qui chuchotait:

  Une information intéressante nous est donnée dans les premières lignes du Chapitre 11 de The Mystery of the Whispering Mummy/La Momie qui chuchotait:

  "Bob Andrews sat at the typewriter in Headquarters, typing up his notes. He knew how to type because his father, a writer for a Los Angeles newspaper, had enrolled him in a typing course when he was twelve."

  "Bob Andy, installé au P.C., tapait à la machine les notes qu'il avait prises au cours de la journée. Son père, rédacteur dans un journal de Los Angeles, lui avait appris la dactylographie."

  Outre le rappel de la mise en abyme (les notes sont destinées au rapport à Hitchcock et à devenir le livre que l'on lit), on a ici une indication sur la relation de Bob et de son père, cette filiation, cette transmission de la profession de journaliste comme il y en a par-ci par-là tout au long de la série. Détail que la traduction française n'a pas conservé, Bob a appris a taper sur une machine à douze ans. Il est très rare d'avoir des informations sur l'âge des personnages.

  Le père de Bob réapparait dans ce même Chapitre 11 Tout comme avec sa mère, le texte reprend le même schéma que dans le tome précédent en changeant les circonstances. Jugez-en par vous-mêmes:

  "[...] He was lost in such deep thought as he entered the house that his father, who was home early - he worked evenings on a big morning newspaper - had to speak twice to get his attention.
  "Why the deep thought, Bob?" his father asked. "School is out so it can't be an examination."
  "It's a case." Bob perched on the arm of his father's chair. "It's kind of mysterious."
  "Want to tell me about it?"
  "Well, it partly involves a cat with one blue eye and one orange eye," Bob said, to which his father answered, "Hmmm," and reloaded his pipe.
  "But mostly it's about a mummy that whispers. How can a 3,000-year-old mummy whisper actual words?"
  "That one's easy." His father chuckled. "The same way a wooden dummy can be made to talk."
  "What's that, Dad?" Bob asked with eager interest.
  "Ventriloquism," his father said and lit his pipe. "Let's go at it logically. A mummy can't talk or whisper. Therefore someone else must make it seem to whisper. The way to do this is by ventiloquism. Conclusion: if you have a 3,000-year-old mummy that is whispering, look for a ventriloquist somewhere in the neighbourhood."
  "Golly, Dad," Bob said, "that could be the answer. Excuse me while I phone Jupe."
  "Surely," his father said and smiled as Bob went out to the hall to the telephone. He remembered himself as a boy and some of the strange things he'd been interested in, which made him more sympathetic with Bob's activities than he might otherwise have been."

Jacques Poirier, 1968.
"[...] M. Andy remarqua aussitôt que son fils paraissait préoccupé.
  "Tu as l'air bien grave, Bob. De quoi s'agit-il? Pas d'une composition, puisque ce sont les vacances.
  -Il s'agit d'une enquête, répondit le jeune Andy en se perchant sur le bras du fauteuil où était assis son père. Nous n'arrivons pas à percer l'énigme.
  -Raconte-moi ça, si le cœur t'en dit."
  --Eh bien, il y a un chat avec un oeil orange et l'autre bleu.
  -Tiens, tiens, fit M. Andy en bourrant sa pipe.
  -Et puis il y a une momie qui parle. Comment une momie vieille de trois mille ans pourrait-elle parler?
  -Ce n'est pas compliqué. On fait bien parler des mannequins de bois.
  -Comment fait-on, Papa?
  --Par ventriloquie, expliqua M. Andy en allumant la pipe. Soyons logiques. Une momie ne peut pas parler. Donc quelqu'un s'arrange pour donner l'illusion qu'elle parle. Pour cela, un seul moyen: la ventriloquie. Conclusion: cherchez le ventriloque.
  -Ça, alors, papa! C'est peut-être la solution. Tu permets que je téléphone à Babal?
  -Bien sûr!" acquiesça M. Andy en souriant: il n'avait pas oublié sa propre enfance, ni les problèmes bizarres qu'il se posait alors; aussi était-il disposé à se montrer très compréhensif envers son fils."

  Sans vouloir suranalyser, j'aimerais relever la réaction du père de Bob à la fin de ces deux extraits. Le texte français gomme la première réaction, mais M. Andrews "secoue la tête" en voyant son fils se jeter littéralement sur le téléphone. Est-ce par surprise, incompréhension ou dédain (comme celui d'Hitchcock dans son introduction à Terror Castle.)? On ne saurait se prononcer. Et pourtant, à la lumière du second extrait, il y a comme une évolution: Robert Arthur explicite le sentiment de M. Andrews/Andy envers la réaction de son fils. Comme expliqué dans l'article principal de Green Ghost, je fais ici la césure et vous donne rendez-vous pour la deuxième partie où l'on verra entre autres comment ce sentiment père fils évoluera.

The Secret of Terror Castle/Au Rendez-vous des revenants.
The Mystery of the Stuttering Parrot/Le Perroquet qui bégayait.
The Mystery of the Whispering Mummy/La Momie qui chuchotait.
Robert Arthur. Traduction de l'américain par Tatianna Bellini/Vladimir Volkoff.

Aucun commentaire: