Voici le troisième tome des aventures d'Oscar Wilde comme enquêteur (voir les chroniques des tomes précédents).
Cette fois le roman débute par les débuts du Musée Tussaud de Londres et la méthode de moulage de cire de sa fondatrice, ses premières réalisations étant les reconstitutions d'assassinats médiatiques elle moule directement sur les visages des condamnés fraîchement exécutés. L'auteur va alors croiser le chemin de Sarah Bernhardt, dont il deviendra vite l'ami. Mais cette ambiance immersive sur les pas de personnages essentiels pour l'histoire culturelle européenne va vite être obscurcie par une série de meurtres dont le mobile semble bien insaisissable.
L'auteur nous plonge dans toujours la même ambiance d'émerveillement sur les pas d'un enquêteur bien particulier que l'on prend plaisir à suivre dans ses promenades parisiennes ainsi que dans ses rencontres. Car il faut admettre que l'enquête n'est pas l'élément le plus passionnant du roman et que le lecteur qui voudrait absolument tout comprendre lira directement l'explication dans les dernières pages.
Note: ce roman m'aura au moins permis de découvrir le poète Maurice Rollinat.
Gyles Brandreth, traduit de l'anglais par Jean-Baptiste Dupin, Éditions 10-18, Collection Grands Détectives, janvier 2010.
L'auteur nous plonge dans toujours la même ambiance d'émerveillement sur les pas d'un enquêteur bien particulier que l'on prend plaisir à suivre dans ses promenades parisiennes ainsi que dans ses rencontres. Car il faut admettre que l'enquête n'est pas l'élément le plus passionnant du roman et que le lecteur qui voudrait absolument tout comprendre lira directement l'explication dans les dernières pages.
Note: ce roman m'aura au moins permis de découvrir le poète Maurice Rollinat.
Gyles Brandreth, traduit de l'anglais par Jean-Baptiste Dupin, Éditions 10-18, Collection Grands Détectives, janvier 2010.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire