D'anciennes maîtresses ont révélé à Mack McCormick qu'elles se réveillaient parfois au milieu de la nuit et le trouvaient caressant silencieusement les cordes de sa guitare à la fenêtre, sous la lumière de la lune, et que, s'il s'apercevait de leur présence, il arrêtait presque immédiatement. Cette précision correspondait aux nombreux témoignages de la manière dont il cachait ses mains ou se retournait quand il sentait les yeux d'autres musiciens se poser sur lui quand il jouait. Il aimait jouer seul la plupart du temps.
A la recherche de Robert Johnson, Peter Guralnick, Le Castor Astral. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Nicolas Guichard.
A la recherche de Robert Johnson, Peter Guralnick, Le Castor Astral. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Nicolas Guichard.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire