Deux enquêtes d'Harmelinde de Crommlynk ; c’est le sous-titre. Car on retrouve ici l’héroïne du recueil "Harmelinde et Deirdre" dans deux longues nouvelles. Aux côtés de ses compagnons Xéphérid, Ersean et Ferhian le troll, les compagnons se retrouvent à mener des enquêtes d’ordre magiques. Dans la première nouvelle, "La chasse au Dirzul", la bande doit délivrer deux enfants d’un maléfice. Pour se faire, ils auront à traverser une partie de l’Orlandie, le pays des Franges Féeriques. Ils se retrouvent alors dans le monde de l’Envers, monde crée par les anciens prêtes-mages. Combat, jeux et magie, sont les principaux éléments de cette nouvelle très empreinte d’humour, comme on pouvait le voir dans "Harmelinde et Deirdre." Des ambiances plus dures et plus tragiques se frayent toutes fois un chemin entre les lignes de la nouvelle, surtout vers la fin.
Cette ambiance tragique devient omniprésente dans la nouvelle suivante, « Les sept couleurs de la vie ». Le magicien Bonisal est atteint d’un mal terrible dont la mort est la seule issue. La troupe se rend donc chez l’alchimiste Gunnal, dont la demeure se situe dans SombreBois, un bois terrible peuplé de créatures infâmes. Mort, souffrance, gravité, sont cette fois-ci les mots qui marquent cette nouvelle dont le développement ne laisse aucun répit aux héros. On suit avec émerveillement leur parcours insensé dans un monde merveilleux et terriblement bien construit. L’auteur a bâtit un véritable multivers captivant et intelligent, avec des héros attachants que l’on suit avec plaisir ou frayeur, cela dépend, tout au long de ces nouvelles.
Nicolas Cluzeau, Éditions Nestiveqnen, 2005, 315 pages
Cette ambiance tragique devient omniprésente dans la nouvelle suivante, « Les sept couleurs de la vie ». Le magicien Bonisal est atteint d’un mal terrible dont la mort est la seule issue. La troupe se rend donc chez l’alchimiste Gunnal, dont la demeure se situe dans SombreBois, un bois terrible peuplé de créatures infâmes. Mort, souffrance, gravité, sont cette fois-ci les mots qui marquent cette nouvelle dont le développement ne laisse aucun répit aux héros. On suit avec émerveillement leur parcours insensé dans un monde merveilleux et terriblement bien construit. L’auteur a bâtit un véritable multivers captivant et intelligent, avec des héros attachants que l’on suit avec plaisir ou frayeur, cela dépend, tout au long de ces nouvelles.
Nicolas Cluzeau, Éditions Nestiveqnen, 2005, 315 pages
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