Cette nouvelle policière très légèrement teintée de fantastique se lit sans pause. Pour plusieurs raisons. Pour le suspense, qui ne fait qu’augmenter à mesure que les lignes défilent ; et pour le raisonnement, dont il ne faut absolument pas perdre le fil ! Un des personnages principaux, le curieux Dupin, a le « pouvoir » de raisonner de manière extrêmement logique et rapide, au point de pouvoir suivre le cheminement des pensées de chacun, dont celui de son ami, qui ne cesse d’être surpris par ses capacités. Il se trouve alors que deux horribles meurtres ont lieu dans une rue de Paris, la rue Morgue bien entendu. Y seront mêlés, vous l’aurez deviné, Dupin et son ami.
La Chat Rouge nous offre une nouvelle fois la possibilité de (re)découvrir une nouvelle d’Edgar Allan Poe, et ce, sous la forme d’un sympathique petit ouvrage unique dans son genre. Tout cela en nous gratifiant d’une petite postface de Jean Florensac qui en profite pour rendre hommage au travail de Charles Baudelaire sur les traductions.
Edgar Allan Poe, Éditions Le Chat Rouge, 2005, 89 pages
La Chat Rouge nous offre une nouvelle fois la possibilité de (re)découvrir une nouvelle d’Edgar Allan Poe, et ce, sous la forme d’un sympathique petit ouvrage unique dans son genre. Tout cela en nous gratifiant d’une petite postface de Jean Florensac qui en profite pour rendre hommage au travail de Charles Baudelaire sur les traductions.
Edgar Allan Poe, Éditions Le Chat Rouge, 2005, 89 pages
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