Cependant ce n'est pas de leurs pouvoirs ou du degré surhumain de leurs forces que nous allons parler dans Succubus blues mais plutôt de ce qui les rapproche des "humains".
De notre héroïne malmenée par son sentiment de culpabilité à son grand patron, en passant par l'ange qui accompagne ce dernier dans des soirées beuveries et quelques vampires, chacun y va de ses faiblesses.
Mais si même un archidémon ressent de l'affection pour ses subordonnés et que tout le monde est copain, où se trouve le vrai challenge dans les aventures de Georgina la succube libraire?
Probablement dans les choix qu'elle doit effectuer, du tiraillement qui l'empêche de faire périr ceux qu'elle aime, et de protéger même ceux qu'elle hait. Et puis n'y a t'il pas une étrange série de meurtres auxquels cette dernière est peu ou prou mêlée?
J'ai bien aimé ce livre, mais je lui ai préféré, et de loin "La mort, j'adore" chez Sarbacane, car ce dernier ne s'encombre pas de sentimentalité et va jusqu'au bout de cet humour noir typique des êtres déchus blasés par leur destiné.
"La mort, j'adore" ne fait pas de son héros un canon victime de ses erreurs mais bien une mocheté qui prend sa revanche sans complexe, loin de toute cette moralité de patachon (le sexe en moins, on ne peut pas tout avoir!).
Succubus Blues - Richelle Mead trad Benoit Domis / Bragelonne 20€
De notre héroïne malmenée par son sentiment de culpabilité à son grand patron, en passant par l'ange qui accompagne ce dernier dans des soirées beuveries et quelques vampires, chacun y va de ses faiblesses.
Mais si même un archidémon ressent de l'affection pour ses subordonnés et que tout le monde est copain, où se trouve le vrai challenge dans les aventures de Georgina la succube libraire?
Probablement dans les choix qu'elle doit effectuer, du tiraillement qui l'empêche de faire périr ceux qu'elle aime, et de protéger même ceux qu'elle hait. Et puis n'y a t'il pas une étrange série de meurtres auxquels cette dernière est peu ou prou mêlée?
J'ai bien aimé ce livre, mais je lui ai préféré, et de loin "La mort, j'adore" chez Sarbacane, car ce dernier ne s'encombre pas de sentimentalité et va jusqu'au bout de cet humour noir typique des êtres déchus blasés par leur destiné.
"La mort, j'adore" ne fait pas de son héros un canon victime de ses erreurs mais bien une mocheté qui prend sa revanche sans complexe, loin de toute cette moralité de patachon (le sexe en moins, on ne peut pas tout avoir!).
Succubus Blues - Richelle Mead trad Benoit Domis / Bragelonne 20€
1 commentaire:
Et les totaux mobiles dans tout ça?
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