J'ai lu ce livre dans le cadre de l'opération "masse critique" de Babelio. Je lis de la fantaisie de manière occasionnelle, je préfère à ce genre le fantastique ou la SF.
En fantaisie, il y a d'une part des chefs d'oeuves incontournables, parfois précurseurs (je pense à la délirante forêt des mythagos d'Holdstock, à l'univers du disque monde de Pratchett..).
De l'autre côté, il y a cette flopée d'histoires bourrées de clichés ô combien prévisibles, surfant sur un genre sur-médiatisé depuis le film du seigneur des anneaux..
"Le seigneur des neiges et des ombres" est le tome 1 du cycle "les larmes d'Artamon". Un bon pavé de 730 pages dont l'histoire est grosso modo la suivante: artiste - prince malgré lui, dominé par un sang reptilien, Gavril est au cœur d'un nœud d'intrigues et de complots entre royaumes dont l'enjeu est - entre autre - la domination totale.
Comme dans les romans de Robin Hobb, on accroche au début, et on s'agrippe à la fin, dans l'espoir d'y voir un dénouement. Rien d'extraordinaire dans ce récit d'aventure: un roi maudit qu'on croirait issu des univers désolés de Moorcock, le sex appeal en moins; des personnages creux et prévisibles - au moins autant que les retournements et infinis rebondissements du récit.
Bref, sympa pour se vider la tête, mais je n'irai pas plus loin.
En fantaisie, il y a d'une part des chefs d'oeuves incontournables, parfois précurseurs (je pense à la délirante forêt des mythagos d'Holdstock, à l'univers du disque monde de Pratchett..).
De l'autre côté, il y a cette flopée d'histoires bourrées de clichés ô combien prévisibles, surfant sur un genre sur-médiatisé depuis le film du seigneur des anneaux..
"Le seigneur des neiges et des ombres" est le tome 1 du cycle "les larmes d'Artamon". Un bon pavé de 730 pages dont l'histoire est grosso modo la suivante: artiste - prince malgré lui, dominé par un sang reptilien, Gavril est au cœur d'un nœud d'intrigues et de complots entre royaumes dont l'enjeu est - entre autre - la domination totale.
Comme dans les romans de Robin Hobb, on accroche au début, et on s'agrippe à la fin, dans l'espoir d'y voir un dénouement. Rien d'extraordinaire dans ce récit d'aventure: un roi maudit qu'on croirait issu des univers désolés de Moorcock, le sex appeal en moins; des personnages creux et prévisibles - au moins autant que les retournements et infinis rebondissements du récit.
Bref, sympa pour se vider la tête, mais je n'irai pas plus loin.
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