Un Ours Bleu possède vingt-sept vies. J'en dévoilerai treize et demie dans ce livre, et je ne dirai rien de toutes les autres. Un ours doit garder un côté obscur, c'est ce qui le rend attirant et mystérieux. Je me contenterai de mentionner : Des Minipirates. Des Ectospectres. Une Sorcière-Araignée des Bois. Un Grottotroll. L'Asticot des Monts obscurs. Un géant sans tête. Une tête sans géant. Des Yétis somnambules. Des Démons des Pousses-Pousse. Un prince venu d'une autre dimension. Un professeur à sept cerveaux. Un Désert Sucré. Des Barbares mal élevés. Des dangers mortels. Un amour éternel. Des sauvetages à la dernière seconde... Mais n'anticipons pas. " Découvrez le premier tome de cette odyssée littéraire loufoque et jubilatoire, à mi-chemin entre Le Seigneur des Anneaux et Le Baron de Münchhausen.
Walter Moers, encore lui! Après la lecture de "la Cité des livres qui rêvent", je me suis procuré le service presse des "13 vies 1/2 du capitaine Ours Bleu". Chaque chapitre est une nouvelle histoire à savourer le soir à la lampe de chevet. Non! pas tout d'un coup! On risquerait l'indigestion qu'ont fait la plupart des libraires et autres critiques du livre. La plume de Walter Moers est sans conteste imaginative, brillante, elle rebondit et nous fait découvrir le continent de Zamonie à travers les péripéties palpitantes de l'Ours Bleu.
J'aurai tendance à comparer cette verve imaginative à celle de Pratchett, mais où vont ils chercher tout ça? Traduit de l'allemand avec brio par Hélène Berthe, ce roman savamment illustré par Walter Moers lui même fait quelques 780 pages qu'Albin Michel a décidé de diviser en 2 tomes à sa parution. Je ne trouve pas ce choix judicieux: le livre forme un tout, un voyage initiatique farfelu, le diviser revient à proposer au lecteur d'investir son argent dans un grand format qui ne serait que la moitié d'une grande histoire, ou de lui faire acheter d'emblée les deux tomes au risque qu'il n'accroche pas.. à emprunter donc..
Très bon roman à mes yeux à lire ou bien à se faire lire, une plongée drôle et bien ficelée dans l'imaginaire. (à partir de 12-13 ans, à découvrir bien avant)
Walter Moers, encore lui! Après la lecture de "la Cité des livres qui rêvent", je me suis procuré le service presse des "13 vies 1/2 du capitaine Ours Bleu". Chaque chapitre est une nouvelle histoire à savourer le soir à la lampe de chevet. Non! pas tout d'un coup! On risquerait l'indigestion qu'ont fait la plupart des libraires et autres critiques du livre. La plume de Walter Moers est sans conteste imaginative, brillante, elle rebondit et nous fait découvrir le continent de Zamonie à travers les péripéties palpitantes de l'Ours Bleu.
J'aurai tendance à comparer cette verve imaginative à celle de Pratchett, mais où vont ils chercher tout ça? Traduit de l'allemand avec brio par Hélène Berthe, ce roman savamment illustré par Walter Moers lui même fait quelques 780 pages qu'Albin Michel a décidé de diviser en 2 tomes à sa parution. Je ne trouve pas ce choix judicieux: le livre forme un tout, un voyage initiatique farfelu, le diviser revient à proposer au lecteur d'investir son argent dans un grand format qui ne serait que la moitié d'une grande histoire, ou de lui faire acheter d'emblée les deux tomes au risque qu'il n'accroche pas.. à emprunter donc..
Très bon roman à mes yeux à lire ou bien à se faire lire, une plongée drôle et bien ficelée dans l'imaginaire. (à partir de 12-13 ans, à découvrir bien avant)
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