Bleue Van Meer serait une adolescente américaine tout à fait ordinaire. Sauf que, à cinq ans, elle perd sa mère dans un accident de voiture et que son père, un intellectuel exubérant et excentrique, la ballotte désormais d'une ville universitaire à l'autre, vers de nouvelles aventures, toujours sur la route.
Marisha Pessl fait un pied de nez à tous les clichés de l'Amérique d'aujourd'hui. Outre un humour décapant, bourré de références culturelles, le roman est également un polar, Bleue en investigatrice. Sans exiger le pire de nous pour résoudre l'intrigue, l'auteur nous ballote de découvertes inédites en situations cocasses dans un style extraordinairement fluide et érudit.
Un excellent roman qui surprend comme une petite bombe les lecteurs avachis..
Papa disait toujours qu’il faut une sublime excuse pour écrire l’histoire de sa vie avec l’espoir d’être lu. " À moins que ton nom ne soit comparable à ceux de Mozart, Matisse, Churchill, Che Guevara ou Bond - James Bond -, il vaut mieux que tu consacres ton temps libre à peindre avec tes doigts ou à pratiquer le palet, car personne, mis à part ta pauvre mère aux bras flasques et aux cheveux rêches qui te couve d’un regard tendre comme du veau, ne voudra écouter le récit de ta pitoyable existence, laquelle s’achèvera sans doute comme elle a commencé – dans un râle."
Marisha Pessl fait un pied de nez à tous les clichés de l'Amérique d'aujourd'hui. Outre un humour décapant, bourré de références culturelles, le roman est également un polar, Bleue en investigatrice. Sans exiger le pire de nous pour résoudre l'intrigue, l'auteur nous ballote de découvertes inédites en situations cocasses dans un style extraordinairement fluide et érudit.
Un excellent roman qui surprend comme une petite bombe les lecteurs avachis..
Papa disait toujours qu’il faut une sublime excuse pour écrire l’histoire de sa vie avec l’espoir d’être lu. " À moins que ton nom ne soit comparable à ceux de Mozart, Matisse, Churchill, Che Guevara ou Bond - James Bond -, il vaut mieux que tu consacres ton temps libre à peindre avec tes doigts ou à pratiquer le palet, car personne, mis à part ta pauvre mère aux bras flasques et aux cheveux rêches qui te couve d’un regard tendre comme du veau, ne voudra écouter le récit de ta pitoyable existence, laquelle s’achèvera sans doute comme elle a commencé – dans un râle."
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