A ce moment-là, il a fait reculer son fauteuil. Il est allé à la fenêtre, son seul exutoire possible: la vue d'un univers composé de deux trottoirs et d'une rue, d'hommes et de femmes qu'il haïssait parce qu'ils marchaient comme s'ils avaient un but.
Un Train pour Tula, David Toscana, Zulma. Traduit de l'espagnol (Mexique) par François-Michel Durazzo.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire