Il y avait tellement de mots barrés. Pas juste des mots, pas juste des phrases, mais des pages entières. Comme si les nouvelles de Raymond c'était très peu de mots et beaucoup de silence. Mais ses nouvelles, c'est lui, ça déborde. Pour qui il se prend, ce Douglas? Il dit - il a osé dire: "Tu as trop de coeur, Raymond." Comme s'il fallait en enlever.
Ciseaux, Stéphane Michaka, Fayard.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire