Une série de meurtres, sans lien apparent entre eux, se déroule un jour ordinaire de 2007. En effet comment relier la mort d'un couple amoureux en weekend dans le sud de la France, d'un industriel de la pèche en Guinée, d'un passionné de reptile à Paris, et surtout celle du journaliste Frédéric Carloni, grand reporter pour le Matin de France abattu en pleine rue à Pigalle lorsqu'il rentrait chez lui? La nouvelle équipe du 36 quai des Orfèvres, composé de personnages aussi différents émotionnellement que culturellement et socialement, et dirigée par un commissaire Delajoie blasé et fatigué de l'exploration des affres de l'âme humaine, mène une enquête qui leur fera explorer les moindres ressorts de la publicité, de l'image et de la grande distribution.
Et si le mythe des vampires ne faisait que cacher une réalité plus sordide et tortueuse?
John Marcus grâce à une écriture qui se rapproprie tous les codes du roman noir nous entraine dans une aventure aux implications et aux rebondissements bien inattendus avec l'humour et le franc-parler caractéristiques de chacun de ses personnages!
Ce roman est la première publication de la toute jeune maison d'éditions L'Autre édition qui revendique une proche proximité avec les libraires. Dans ce but il a mis en avant un prix de lancement jusqu'au 31/12/2009 de 11, 09 euros et 16, 83 ensuite.
Un système de bonus est aussi mise en place afin de compléter la lecture! (sur ce lien)
John Marcus grâce à une écriture qui se rapproprie tous les codes du roman noir nous entraine dans une aventure aux implications et aux rebondissements bien inattendus avec l'humour et le franc-parler caractéristiques de chacun de ses personnages!
Ce roman est la première publication de la toute jeune maison d'éditions L'Autre édition qui revendique une proche proximité avec les libraires. Dans ce but il a mis en avant un prix de lancement jusqu'au 31/12/2009 de 11, 09 euros et 16, 83 ensuite.
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Extrait:
"Denrée aussi insipide que périssable, la dépêche avait transformé l'information en consommable. C'était le prix à payer pour satisfaire la boulimie de l'Homo informatum. Car cette espèce croyait qu'être informée, de tout et de rien, mais toujours, c'était comme exister, se sentir vivre pour le moins. La cadence de réception de l'information semblait influer directement sur celui de sa vitalité sociale.
Delajoie de souvenait d'une phrase d'Albert Camus concernant l'homme moderne: "Je rêve parfois de ce que diront de nous les historiens futurs: il forniquait et lisait des journaux. Après cette forte définition, le sujet sera, si j'ose dire, épuisé." Aujourd'hui, l'homme moderne continuait bien à forniquer, mais il lisait surtout les dépêches. Dans ses journaux évidemment, mais aussi sur les sites d'information ou sur les déroutants de son téléviseur. Impossible d'y échapper".
John Marcus, L'Autre éditions, mai 2009.
Delajoie de souvenait d'une phrase d'Albert Camus concernant l'homme moderne: "Je rêve parfois de ce que diront de nous les historiens futurs: il forniquait et lisait des journaux. Après cette forte définition, le sujet sera, si j'ose dire, épuisé." Aujourd'hui, l'homme moderne continuait bien à forniquer, mais il lisait surtout les dépêches. Dans ses journaux évidemment, mais aussi sur les sites d'information ou sur les déroutants de son téléviseur. Impossible d'y échapper".
3 commentaires:
horrible bandeau
oui en fait je crois que ça va être le véritable problème de la commercialisation de ce roman ce qui est bien dommage car il est réellement bien sympathique autant pour sa fin plus inattendue que pour ses personnages plus qu'attachant!
@ Gilmoutsky : Ta remarque m'a bien fait rire ! Mais t'as raison !
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