Quand il souffle dans son instrument, c'est d'abord sa propre image qu'il évacue, par fragments, comme les pièces d'un puzzle. Un à un, les petits abîmes hallucinatoires où il commençait à se perdre sont comblés par des notes.
Albert Ayler - La Rivière et le fantôme, in Fantômes du jazz, Thierry Acot-Mirande, Les Belles Lettres, 2006, 21€.
2 commentaires:
Est-ce qu'il y a des extraits de romans comme ce fut le cas pour d'autres anthologies de la même collection?
Non ce sont juste des nouvelles.
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