Au début je ne savais pas du tout à quelle époque transposer l'histoire, il m'a fallu quelques pages pour ne plus me croire au moyen-âge, tant les premiers personnages abordés sont rustres et choquants.
Mais non, nous sommes bel-et-bien à notre époque, et plus j'ai progressé dans le récit, plus j'y ai lu - au delà de l'histoire d'un acte innommable et d'un pardon - une critique très lucide du comportement de chacun, tous niveaux sociaux confondus, et d'une société qui se casse doucement la figure.
J'ai bien aimé le roman, pas aussi beau dans l'écriture que le "théorème Almodovar" mais à l'histoire plus complexe, il nous entraine dans une grotte qui m'en rappelle une autre: celle du "Passé devant soi". On a parlé, lors d'une séance du comité de lecture pour le prix Robles dont les dernières critiques sont issues, de la caverne de Platon et je pense vraiment que la métaphore vient à propos.
L'Obscur, Jeanne Labrune - Grasset
Mais non, nous sommes bel-et-bien à notre époque, et plus j'ai progressé dans le récit, plus j'y ai lu - au delà de l'histoire d'un acte innommable et d'un pardon - une critique très lucide du comportement de chacun, tous niveaux sociaux confondus, et d'une société qui se casse doucement la figure.
J'ai bien aimé le roman, pas aussi beau dans l'écriture que le "théorème Almodovar" mais à l'histoire plus complexe, il nous entraine dans une grotte qui m'en rappelle une autre: celle du "Passé devant soi". On a parlé, lors d'une séance du comité de lecture pour le prix Robles dont les dernières critiques sont issues, de la caverne de Platon et je pense vraiment que la métaphore vient à propos.
L'Obscur, Jeanne Labrune - Grasset
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