On connaît peut-être Barbara Constantine par son premier roman : Allumer le chat (sorti en poche en septembre) qui nous « présentait en 70 chapitres courts une vie de campagne loufoque et pleine de rebondissements » (@Gilmout).
Son deuxième roman : A Mélie sans Mélo (Calmann-Lévy) est dans le même esprit : le temps d’un été Mélie 72 ans, accueille sa petite fille, sans se préoccuper plus avant de ses résultats d’analyse : cet été serait il le dernier qu’il ne prend pas du tout une tournure dramatique, bien au contraire ! Il d’agit d’un tourbillon de personnage et d’histoires, sur un ton léger, dans un style très oral.
Les livres de Barbara Constantine pétillent de malice, et –bien que parfois trop court- sont des bouillons de bonheur pour l’hiver. Un mélange entre Gavalda (pour ses histoires de vies, mais sans mélo) et Raphael Moussaphir –du vent dans mes mollets- (qui sous ses apparences naïves et légères dévoile des tranches d’histoires un peu sombres : ici le passage de la guerre, l’acte de vieillir et les amours trahis)
Son deuxième roman : A Mélie sans Mélo (Calmann-Lévy) est dans le même esprit : le temps d’un été Mélie 72 ans, accueille sa petite fille, sans se préoccuper plus avant de ses résultats d’analyse : cet été serait il le dernier qu’il ne prend pas du tout une tournure dramatique, bien au contraire ! Il d’agit d’un tourbillon de personnage et d’histoires, sur un ton léger, dans un style très oral.
Les livres de Barbara Constantine pétillent de malice, et –bien que parfois trop court- sont des bouillons de bonheur pour l’hiver. Un mélange entre Gavalda (pour ses histoires de vies, mais sans mélo) et Raphael Moussaphir –du vent dans mes mollets- (qui sous ses apparences naïves et légères dévoile des tranches d’histoires un peu sombres : ici le passage de la guerre, l’acte de vieillir et les amours trahis)
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